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24 mars 2023

La foire des antiquaires à Parme, Mercanteinfiera , 1000 exposants.

Deux fois par an se tient dans la périphérie de la ville Parme (Italie ) une foire d'antiquités Mercanteinfiera  unique en Europe . Vieille de plus de 40 ans, la foire nous réserve toujours ses surprises et ses découvertes qui nous émerveillent au fur et à mesure de son déballage et de ses allées a n'en plus finir.

Foire des antiquaires de parme

Le nom de cette foire biannuelle Mercanteinfiera  ou elle se situe dans les environs proches de Parme dans la zone  appelée Le Fiere di Parma . Pour s y rendre le plus simple un taxi , mais un autobus au départ de la gare vous y emmené ou allez-y  pied comme je l'ai fait ,

Table du XVIIe Mercanteinfiera Parme

 

Si vous vous sentez de le faire à pied, il faut suivre les rives de la rivière, la balade n'est vraiment pas exceptionnelle, mais on prend l'air et c'est long .

Mais maintenant je vous explique Mercanteinfiera  ou je vais tenter une approche tant il est impossible de tout voir .

La foire des antiquaires de Parme se divise sur plusieurs pavillons, celui que j'ai le plus visiter fut le Hall 3 , il est celui dédié à l'antiquité, mais j'aime beaucoup le hall 4 qui est plus brocanté ,bien que je n'aie pas réellement perçu cette différence .  On pourrait dire que le hall 4 va accueillir une gamme plus vaste dans le choix des objets exposés . La particularité de cette foire, outre sa grandeur, c'est cette possibilité de trouver des objets de prix très élevés ( voir parfois exagérément cher) qui peuvent côtoyer des objets à des prix bas .  On peut admirer des objets incroyables et ,personnellement, il m'est resté en tête ce pianoforte datant de la fin du XVIIIe et entièrement laqué , un objet digne d'un musée .

Piano forte XVIIIeme foire des antiquaires de Parme Mercanteinfiera

 Le pianoforte en laque peint du XVIIIe et ce superbe mannequin d'atelier.

Mannequin en bois ancien travail pour artiste peintre foire de Parme

Un autre antiquaire avec qui nous tenions une discussion m'a montré un plateau en scagliola qu'il venait tout juste de vendre à un décorateur , rarement j'avais pu apprécier un plateau aussi élégant et richement décoré.

Mais nous sommes en Italie et l'art qui domine, c'est la peinture, ,jamais, vous ne pourrez voir autant de tableaux destinés à la vente . On pourrait dire du sol au plafond , Bien sûr les bois dorés ne sont pas en reste, car n'oublions pas que le Baroque est très présent.

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Mais la foire  de Parme va en offrir pour tous les gouts, il y a aussi nombre de stands dédiés au design avec bien évidement une mise en lumière sur le design italien . Mais plus loin les stands, on trouve les stands de Vintage de montres et bijoux . Cette année on a pu assister aux retours des voitures anciennes, un pavillon tout simplement rempli de monde et très intéressant, vous pouvez vous trouver une petite Ferrari pour retourner à Parme en voiture .

Stand de tableaux foire des antiquaires de Parme Mercanteinfiera

Mon conseil sur la foire de Parme c est au minimum de rester 2 jours et de garder une ou deux journées pour la visite de la ville et surtout ne pas oublier la Pinacotheque et le théatre Farnese ( tout est compris dans la meme visite )  . Un musée  d 'exception .

Si vous parlez italien,  Giorgia Basili a fait un article plus complet sur le magazine arte  Artiquariato

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20 mars 2023

Artiquariato le nouveau magazine d'art italien

Artiquariato est un nouveau magazine d'art online dédié à l'art aux expositions, objets d'antiquités et  à l'art contemporain . Le projet a été mis en œuvre par le site des antiquaires Proantic.it qui désire s'ouvrir encore plus au marché italien.  Bien évidement amoureux de l'art et la culture qui remplisse l'Italie c est tout naturellement qu'est né le magazine Artiquariato

Dans un premier temps basé à Rome, il sera surtout question des expositions située dans la capitale italienne ou de visites de musée peu connu comme le musée Napoléon de Rome riche d'une collection exceptionnelle dont nous allons vous faire découvrir quelques trésors .

Mais ce sont aussi des articles approfondis qui pourront satisfaire l'esprit du chineur  qui lors de ses voyages désirerait faire des haltes dans des villes d'antiquaires . Il pourra  découvrir la foire des antiquaires qui se déroule chaque premier dimanche dans la sublime ville de Arezzo ou se lancer a l'aventure dans l'incroyable foire Mercanteinfiera que se déroule 2 fois par dans la ville de Parme ,réunissant plus de mille exposants .

foire des antiquaires Arezzo

Arezzo la ville des antiquaires en Toscane

 

Les articles sont aussi une occasion de découvrir des objets rares comme l'histoire de la harpe au XVIIIeme siècle ou encore découvrir ce fabuleux camée appelé la Tazza Farnese réalisé dans la ville d'Alexandrie à l'époque hellénique et qui se retrouvera dans les collections de Laurent le magnifique et pour enfin être exposé au musée archéologique de Naples .

Art Grec la Tazza-Farnese musée archéologique de Naples

L'art contemporain ne sera pas en reste et nos tenterons de vous tenir au courant des nouveautés vu dans les galeries romaines

Alors bonne lecture sur Artiquariato mais en italien

 

 

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05 mars 2014

la laque française: le vernis Martin

Le Musée des Arts Décoratifs présente l'exposition

Les secrets de la laque française: le vernis Martin

Jusqu'au 8 juin 2014

Les Arts Décoratifs mettent le XVIIIe siècle à l’honneur. En consacrant une grande exposition aux secrets de la laque française, le musée révèle l’engouement pour une technique qui incarne le luxe et le raffinement. Du plus imposant au plus discret, du plus somptueux au plus modeste : meubles, panneaux de boiserie, objets d’ameublement, boîtes et étuis, carrosses et traîneaux dessinent l’histoire d’une passion largement partagée par une clientèle parisienne et européenne, qui dépassa celle de la chinoiserie à laquelle cette production sacrifia.

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Boîte de toilette, Anonyme, Paris, vers 1750, Bois, laque bleue, décor
en léger relief

Collection privée, Photo : Jean Tholance

La question particulière du Vernis Martin, expression que seuls les français utilisent, pour parler de la laque, soulève de nombreuses interrogations qui trouvent ici, pour la première fois, des réponses étayées par de nombreuses études et exemples. Réalisée en collaboration avec le Lackkunst Museum de Münster en Allemagne, l’exposition, mise en scène par Philippe Pumain, réunit près de 300 objets .

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Paire de panneaux de berline, Attribuée à Guillaume ou Etienne-Simon Martin

, Paris, vers 1745

Münster, Museum für Lackkunst, Photo : Tomasz Samek

Vers la fin du XVIIe siècle, le coût de plus en plus élevé de la production de laque japonais et la qualité moindre des laques d’importation chinois, amènent les européens à vouloir s’approprier la maîtrise de cette matière.

L’étude de la laque conduit ainsi d’habiles artisans, tant en Allemagne, en Angleterre et en Hollande, qu’en France à retrouver cet aspect velouté et profond et à imiter avec talent les productions orientales. A Paris, de nombreux ateliers de peintres doreurs -vernisseurs voient ainsi le jour faubourg Saint-Antoine à proximité des ébénistes – menuisiers, les liant ainsi dès le départ au domaine du meuble.


Parmi les plus célèbres, ceux des frères Martin, rues des faubourgs Saint-Denis et Saint-Martin, dont la renommée associa le nom à leur technique, puis
à l’ensemble des laques produites en France. Ces vernis, travaillés selon le même principe de couches superposées que la laque d’Extême Orient, n’ont pourtant rien en commun avec celle-ci du point de vue de la composition chimique.

Ils sont différents selon les ateliers et leur recette est gardée secrète. C’est l’introduction de la couleur qui fait l’une des spécificités de la laque française.Les compositions de vernis permettent une plus large gamme. Désormais, se substituent aux fonds noirs et rouges, des fonds jaune, bleu, vert, blanc ou or.

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Commode de Madame Adélaïde, Gilles Joubert et Etienne-Simon Martin

, Paris, 1755

 Musée national du château de Versailles et des Trianons
 

© château de Versailles / Christophe Fouin

En faisant ainsi évoluer la technique, les peintres vernisseurs, sous l’impulsion des marchands merciers répondent aux goûts des clients. L’iconographie s’éloigne peu à peu des scènes et paysages asiatiques pour intégrer, assimiler l’art des peintres d’alors.Les oeuvres de Greuze, Boucher, Oudry ou Vernet sont les principales sources d’inspiration et recouvrent une typologie extrêmement variée d’objets.

Le vernis Martin sublime ainsi tout type de supports (bois, métal, argent, céramique, tôle…) et s’applique à toutes les formes, du plus petit objet au plus grand, de la navette ou bobine de fil aux pièces imposantes de mobilier, du panneau à la théière en passant par les horloges, boîtes ou étuis. Les intérieurs des grandes demeures s’en remplissent, faisant du vernis Martin un témoin de l’art de vivre du XVIIIe siècle français.

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Toilette car­rée en tom­beau, ano­nyme, France, vers 1720.

Münster, Museum für Lackkunst © DR

Ce siècle des lumières qui aime autant l’art que les sciences, produit de nombreux instruments de mesure et de musique qui passent également entre les mains des vernisseurs. Mais la production atteint les sommets du raffinement à travers les décors qui parent les carrosses et les berlines, recherchés par toutes les cours d’Europe. Paris dénombre pas moins de 200 ateliers spécialisés dans la production d’attelages.

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Traineau aux patineurs, Anonyme, Paris, vers 1770.

Versailles, Musée national du château de Versailles et des Trianons

© château de Versailles / Gérard Blot

L’exposition présente les différentes étapes qui ont conduit les frères Martin et leurs confrères parisiens à élaborer les techniques. Quelques oeuvres introduisent le visiteur dans l’univers des laques asiatiques afin d’évoquer leur exportation vers l’Europe et la fascination qu’elles ont suscité. Les autres constituent les jalons de cette étonnante quête, partie de l’imitation jusqu’à son émancipation.

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Tabatière, Paris, 1744–1750

Münster, Museum für Lackkunst

Curieux paradoxe que cette technique, célébrée par Voltaire, vilipendée par Mirabeau, pour laquelle, si l’on en connaît bien les protagonistes, les quatre frères Martin, on ne peut attribuer avec certitude les oeuvres produites par leurs ateliers !

 

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Cassolette en tôle, Manufacture de la veuve Gosse et Samousseau

, Paris, vers 1770 -1780.

Musée des Arts décoratifs, Photo : Jean Tholance

En effet, les Martin, tout comme leurs confrères peintres doreurs-vernisseurs, ne signaient ni ne marquaient leur production. C’est donc un défi que se lancent le Lackkunst Museum de Münster et le musée des Arts décoratifs à Paris en rassemblant pour la première fois un choix d’oeuvres significatives et représentatives de ce qui fut la production des peintres vernisseurs parisiens.

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L'année Diane de Poitiers au château d'Ancy-le-franc

Ce joyau de la Renaissance en Bourgogne abrite d’exceptionnelles peintures murales des XVIe et XVIIe siècles. Parmi les plus belles pièces du château, la chambre de Diane de Poitiers et ses 10 panneaux muraux viennent d’être restaurés. Réouverture le 29 mars 2014. À cette occasion les visiteurs pourront découvrir une partie du rez-de-chaussée fermée depuis plus de 14 ans.

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L'histoire du château d'Ancy-le-Franc

Représentatif de l'art de vivre de la Renaissance, le Château d'Ancy-le-Franc est, de part une composition profondément originale dans sa simplicité, sans exemple en Italie comme en France.

Héritier des terres d'Ancy-le-Franc au décès de sa mère, Anne de Husson, Comtesse de Tonnerre, Antoine III de Clermont décida d'y faire construire un château sur un terrain vierge qui permettait la réalisation exemplaire de ses goûts, sans le souci de s'accommoder d'une construction plus ancienne.

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Chambre des fleurs

C'est donc de la rencontre, à la cour de François Ier, de ce grand Seigneur, Lieutenant Général du Dauphiné, Grand Maître des Eaux et Forêts et de surcroit beau-frère de Diane de Poitiers, avec un architecte transalpin de renom Sébastiano Serlo qu'est né le Château Ancy-le-Franc. Commencé en 1542, la construction fut probablement achevée en 1550. La régularité parfaite préside à l'organisation des volumes et des façades. Quatre corps de logis dessinent un carré parfait flanqué aux angles de pavillons quadrangulaires.

L'intérieur renferme une série remarquable de peintures murales (sur enduit). Outre le château, le domaine comprend de vastes écuries, une ferme sur cour, diverses constructions dont la " FOLIE " réalisée en 1761 et située au milieu de l'étang, côté Sud.

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Galerie de Pharsale

Propriété des Clermont-Tonnerre jusqu'en 1683, le château devient à cette date propriété du François-Michel Le Tellier, Marquis de Louvois, célèbre Ministre de Louis XIV. Ses héritiers seront contraints de s'en séparer en 1844, au profit de Gaspard-Louis-Aimé de Clermont-Tonnerre, descendant d'Antoine III de Clermont. Après avoir appartenu aux princes de Mérode puis à divers propriétaires, le château est aujourd'hui la propriété de la société Paris Investir SAS dont l'esprit est d'en assurer la complète restauration.

 

Les décors

Le Château d’Ancy-le Franc abrite l’une des plus belles collections de peintures murales des XVIe et XVIIe siècles en France.Ces décors peints constituent l’un des témoignages les plus importants de la peinture murale en France dans la seconde moitié du XVIe siècle et au début du XVIIe.

Une première campagne de décoration a été commandée vers 1550 par le commanditaire du château Antoine III de Clermont (1497-1579). De grands artistes Italiens de l’Ecole de Fontainebleau viendront décorer les appartements du Grand Seigneur en terre Bourguignonne. Attributions au Primatice, Nicolo dell’Abate, Ruggiero de Ruggieri...

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La chambre de Diane

Un décor peint sur le thème de l’Antiquité Rarement autant de scènes antiquisantes et de  grotesques italiennes ont été commandés pour une demeure privée à l’époque. Ces thèmes seront récurrents en France seulement à partir du XVIIe siècle.

Une deuxième campagne de décoration commence vers 1590 à l’initiative du successeur et petit-fils Charles-Henry de Clermont-Tonnerre (1571-1640). Ces décors furent, pour un certain nombre, marqués sur le plan stylistique par les peintres appartenant à la seconde école de Fontainebleau. Attributions au, Philippe Quantin, André Ménassier...

D’autres décors peints se sont ajoutés à travers les siècles. Une campagne de décoration a été réalisée notamment au XIXème siècle par la famille Clermont-Tonnerre.

 

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03 mars 2014

histoire des cabinets de curiosités

Le musée Sainte-Croix à Poitiers présente l'exposition

L a lico r n e et le b é z o a rd,

Une histoire des cabinets de curiosités d’hier à aujourd’hui.

Jusqu'au 16 mars 2014

La licorne n’existe pas : il y a bien longtemps que la science moderne l’a prouvé ! Et pourtant… sa corne était autrefois une pièce de choix dans les cabinets de curiosités. Elle est si présente dans nos imaginaires, dans nos livres et nos histoires, qu’elle a bien une existence réelle dans notre civilisation.

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De la même façon, le bézoard, « pierre de fiel » aux vertus rares pour soigner, pensait-on, la mélancolie, faisait l’objet d’échanges commerciaux internationaux, et sa magie opère encore, aujourd’hui, dans l’imaginaire occidental : le célèbre Harry Potter l’utilise comme anti-poison.

Ces deux objets sont typiques de ce que renfermaient les cabinets de curiosités, ces collections que rassemblaient princes et savants à partir de la Renaissance. Ils témoignent de cette fascination pour l’étrange et le merveilleux, le rare, le précieux, le bizarre voire le monstrueux, dans une accumulation de toutes les « curiosités » du monde connu, objets naturels – naturalia – et productions humaines – artificialia.

 

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Cabinets de curiosités

L’expression désigne aussi bien un type de collection que la pièce, voire le meuble, qui la renfermait. En réalité, il n’existe pas un modèle de cabinet, mais différentes sortes : du studiolo – chambre d’étude d’un prince italien – à la Wunderkammer – chambre des merveilles d’un prince Habsbourg –, du cabinet d’un savant à celui d’un médecin anatomiste, ces collections sont différentes dans leur forme, dans leur contenu, mais toutes servent à organiser et présenter des connaissances sur le monde, sur la Création dans son infinie richesse.

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C’est à une découverte de leur histoire qu’invite cette exposition. Chaque salle reconstitue ou donne à voir un type de cabinet. À l’évocation du studiolo d’Urbino, avec son exceptionnel décor de marqueterie lié aux différentes formes du savoir, succède une salle octogonale où s’accumulent quantité d’objets, animaux naturalisés et squelettes, monnaies et statuettes, pierres de foudre, coraux... formant une sorte d’« abrégé du monde ».

Les figures des principaux amateurs de curiosités sont rassemblées dans la galerie suivante, témoignage d’un réel engouement européen. Dans le cabinet princier, conçu en écho à celui du château d’Ambras en Autriche, les objets les plus précieux côtoient armes de prestige et meubles de cabinet. Un jardin factice sert de cadre à l’évocation de l’apothicaire Contant, installé à Poitiers, et à sa collection ouverte sur l’Atlantique et les objets amérindiens.

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La maquette du premier cabinet de Chevalier, à Amsterdam, est entourée des descriptions qu’il a lui-même publiées de sa collection de médailles, d’oeuvres d’art, de nombreux objets issus du commerce international d’alors. La collection de Ruysch, médecin anatomiste de la fin du XVIIe siècle, révèle sa double fascination pour l’histoire naturelle et pour le corps humain et ses pathologies, au travers de vanités tridimensionnelles.

Un dernier espace questionne la vivacité de la curiosité dans le monde contemporain. Autour d’oeuvres du XXe et du XXIe siècle - « boîte verte » de Marcel Duchamp, oeuvre de Jean-Michel Othoniel, évocation du château d’Oiron -, des objets insolites revisitent la question des « reliques », des images issues de la recherche scientifique illustrent le questionnement permanent sur la connaissance du monde, et nous renvoient à notre fascination pour l’inconnu, l’étrange, le rare, le merveilleux...

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L’exposition se poursuit à l’Espace Mendès- France où sont réunis des objets scientifiques du XIXe siècle, liés à l’expérimentation électrique et à l’anatomie. Ils témoignent de l’évolution des collections scientifiques, héritées des cabinets de curiosités, à l’heure des grandes découvertes des sciences modernes.

En écho…

Le « cabinet de curiosités du sieur Alcide de Farcy » est installé depuis janvier 2013 dans l’espace jeune public du musée. Il a accueilli les élèves qui ont participé à un projet pédagogique, en partenariat avec l’École des beaux-arts, au premier semestre. À partir de la découverte de cet étrange cabinet, où sont réunis des objets hétéroclites dans un esprit bien différent de celui des musées actuels, les élèves ont composé leurs propres objets de curiosité, présentés dans la galerie vers l’atelier pédagogique et autour de l’auditorium.

 

 À découvrir le magazine d'art  Artiquariato de Proantic italia  

Nouvellement créé par Proantic le magazine d'art italien Artiquariato a pour objectif de s'intéresser aux thématiques artistiques et culturels.. Les articles sont tous rédigés par des journalistes professionnels et critiques d'art italien.

Artiquariato il magazine d'arte  vous invite à découvrir ses articles, mais bien sur il faut parler italien pour le comprendre.

Mais si vous souhaitez tester votre niveau d'italien je vous propose cet article sur les bijoux sentimentaux.

I gioeille sentimentali , la moda Neoclassica e gli affecti

 

Posté par regardantiquaire à 17:14 - Permalien [#]

 
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